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Immobilier en 2012 : dur dur ! Le marché immobilier est freiné

immobilierIl faut bien le constater et l’admettre : le marché immobilier 2012 ne ressemblera pas au marché 2011.

Alors que cette dernière année a vu un nombre de transactions de biens immobiliers anciens très élevé, environ 800 000, il fallait bien s’attendre à un frein en ce début d’année.

Et dire qu’il y a un frein est un euphémisme !

A part nos amis Notaires, qui ont pu constater une forte activité en décembre et janvier, notamment par l’application du changement de fiscalité sur les plus-values immobilières, nos partenaires transactionnaires sont un peu dans le mou.

Augmentation des taux d’intérêts d’emprunts, conditions climatiques catastrophiques, réforme de la taxation sur les plues values immobilières, crise de la dette, année présidentielle, sont autant de facteurs ralentissant le marché de l’immobilier.

Au contact chaque jour de nos partenaires professionnels de l’immobilier, force est de constater que les deux premiers mois 2012 ont été bien moroses.

On ressent bien actuellement, depuis quelques jours, une légère reprise, mais celle-ci ne permet pas de rattraper les premières semaines.

Cependant, avec une baisse assez générale des prix de l’immobilier depuis avril 2011, hormis certaines zones géographiques, on assiste depuis décembre et janvier 2012 à une stabilisation.

Et si cela se confirmait, cela pourrait sans doute présager une légère reprise au printemps. Les vendeurs seront rassurés par la fin de la baisse des prix, et d’un autre côté, les acheteurs qui auraient l’espoir de faire de bonnes affaires avant que les prix ne remontent trop.

Si certains économistes anticipaient une légère reprise du marché immobilier aux Etats-Unis, avec le secret espoir que cela arrive sur notre continent quelques mois plus tard. On doit pourtant bien constater que ce n’est pas encore le cas.

Standard & Poors (cela vous rappelle rien?), qui dispose également d’un indicateur concernant le marché immobilier, indique une baisse des prix de  4% en 2011 aux USA.

Nous n’y sommes donc pas encore.

Il faut donc bien s’armer encore de patience.

Dans un tel contexte, il convient d’amener de la valeur ajoutée aux dossiers de vente, d’anticiper au maximum les objections des acquéreurs, de dynamiser la commercialisation.

Ce seront  autant d’atouts qu’un propriétaire vendeur, ou un professionnel doit disposer,  afin de se donner toutes les chances d’optimiser chaque contact.

Autant d’atouts dont dispose AVEO : démarchage du bien par rapport aux autres sur le marché (neutralisation et travaux de rafraîchissement), chiffrage des anomalies constatées sur le bien (anticipation et réassurance de l’acquéreur), organisation de journées portes ouvertes (dynamique de commercialisation).

Souvenez-vous : 83% des prestations réalisées par AVEO sont vendues en moins de 3 mois ! 

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